Cette photo n'a rien à faire là, elle devrait être à côté de l'autre photo de temple, mauvaise manipulation et bien trop de travail pour la remettre au bon endroit. bref.
Tout le bas de la colline jusqu'à la plaine est en terrasse; c'est pas les premières qu'on voit mais la maîtrise et le travail accompli nous laissent tout de même songeurs. Encore un peu de marche et on arrive à Pisac, on saute dans le collectivo et on rentre à la maison.
En chemin, apercevons ce petit faucon Andin, aux aguets. Les terrasses sont sans doute pour lui un magnifique terrain de chasse.
En contre bas des temples, des habitations pré-incas mi-pierre mi-terre résistent au temps qui passe. Ce mur a, au bas mot, mille ans. Il est l'heure de redescendre, le soleil commence à se frotter les yeux.
On arrive ensuite aux temples, tout en haut du site. Trois temples. Le temple du soleil, de la lune et des étoiles. Là aussi, ils ont utilisé des pierres rouges, symbole de vie. Les niches, pour les offrandes et les excroissances en pierre pour suspendre les idoles en or.
Si cette vieille souche pouvait parler, on apprendrait sans doute de fabuleux secrets mais aussi de bien tristes histoires. On se contentera d'apprécier l'air pur et le bruit du vent.
Là aussi, le travail est titanesque, impressionant. Car forcément, comme à Tipon, la matière première fut acheminée à dos d'hommes d'une carrière située à plusieurs kilomètres en contre bas. Le flutiste n'est plus très loin, on va enfin pouvoir profiter de la vue imprenable sur la vallée; sacrée pour les incas. On comprend pourquoi, c'est vraiment trés beau.
Deux jours plus tard, partons à Pisac, à quelques deux heures de bus de la grande ville. Les constructions sont là aussi haut perchées, encore une petite marche qui décrasse en perspective.
Si cette vieille souche pouvait parler, on apprendrait sans doute de fabuleux secrets mais aussi de bien tristes histoires. On se contentera d'apprécier l'air pur et le bruit du vent.
Le paysage est ici, magnifiquement faconné par l'homme depuis des millénaires; sans aucun doute au prix d'efforts incroyables. La coca, y est néanmoins pour quelque chose, leur donnant force et concentration tout au long de la journée.
Là aussi, le travail est titanesque, impressionant. Car forcément, comme à Tipon, la matière première fut acheminée à dos d'hommes d'une carrière située à plusieurs kilomètres en contre bas. Le flutiste n'est plus très loin, on va enfin pouvoir profiter de la vue imprenable sur la vallée; sacrée pour les incas. On comprend pourquoi, c'est vraiment trés beau.
Deux jours plus tard, partons à Pisac, à quelques deux heures de bus de la grande ville. Les constructions sont là aussi haut perchées, encore une petite marche qui décrasse en perspective.
Un flutiste, logé dans la tourelle, nous donne du courage pour gravir la pente abrupte.
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